Chère Catherine,
D'abord un remerciement pour votre engagement pendant ces deux journées passées ensemble, et votre désir de nous ouvrir au grand rire qui nous soulève et qui fait voler les masques de nos lourdes mascarades sociales... C'était bien.
Évidemment, j'aurais souhaité un travail plus intensif sur le clown lui-même. L'exercice final n'était qu'un début. Mais malheureusement, dès qu'il y a groupe, il faut d'abord travailler à la cohésion, à l'affranchissement des barrières et des jugements, à l'instauration d'une confiance et d'une acceptation mutuelles. Cela demande du temps, et n'en laisse plus beaucoup pour le fond... Mais ce n'est qu'une incitation à renouveler l'expérience !
Avec tous mes remerciements,
Très cordialement à vous,
Éric Hupel